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14 juillet 2015

Lectures de vacances

L'été, on prend le temps de lire — ou de relire — quelques gros romans. Pas vraiment des nouveautés, mais presque, déjà, des "classiques" :

— Gerald Basil EDWARDS, Sarnia, Points/Romans, Seuil, 2006. 637 p.
— Timothy FINDLEY, La Fille de l'Homme au Piano, Folio, Gallimard, 2001. 768 p.
— John IRVING, L'Œuvre de Dieu, la part du Diable, Points/Romans, Seuil, 1995. 733 p.
— Milan KUNDERA, L'Immortalité, Folio, Gallimard, 1993. 533 p.

Ou des romans plus minces, mais tout aussi recommandables :

—Truman CAPOTE, Les Domaines hantés, L'Imaginaire, Gallimard, 1985. 308 p.
—Jeffrey EUGENIDES, Virgin Suicides, Points/Romans, Seuil, 2010. 254 p.
— John FANTE, Mon chien Stupide, 10/18, 2002. 185 p.
—Haruki MURAKAMI, Au sud de la frontière, à l'ouest du soleil, 10/18, 2011. 259 p.

On peut encore découvrir des textes originaux, journaux, fragments, essais privilégiant la réflexion personnelle :

— Jean CLAIR, Journal atrabilaire, Folio, Gallimard, 2008. 240 p.
— Winfried Georg SEBALD, Vertiges, Actes Sud, 2001. 233 p.

Et, bien sûr, les romans policiers et "thrillers", qui nous réservent souvent d'heureuses surprises :

— Stieg LARSSON, Millenium, Babel/Noir, Actes Sud, 3 volumes : 1. Les Hommes qui n'aimaient pas les femmes, 2011, 705 p. 2. La Fille qui rêvait d'un bidon d'essence, 2011, 800 p. 3. La Reine dans le palais des courants d'air, 2013, 880 p.
— Carin GERHARDSEN, La Maison en pain d'épices, 10/18, 2012. 334 p. Suivi de : Hanna était seule à la maison, id. 2013. 358 p. La Comptine des coupables, id. 2014. 333 p. La Dernière Carte, id. 2015. 358 p.
— Harry BINGHAM, La Mort pour seule compagne, 10/18, 2014. 451 p. Suivi de : Jusqu'à ce que la mort les réunisse, id. 2015. 540 p.

Bonnes lectures !

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